Citoyens
Environnement
MENU |
Agroforesterie |
Lutte à l’érosion |
Bande riveraine |
Plantes et organismes envahissants |
Fosse septique |
Ciel étoilé |
L’agroforesterie est un mode d’exploitation des terres agricoles associant des arbres et des cultures ou de l’élevage sur une même parcelle afin d’obtenir des produits ou services utiles à l’homme.
Bien gérer son boisé requiert une bonne planification selon les objectifs que vous voulez atteindre. Pour ce faire, il existe plusieurs outils qui permettent d’identifier la composition forestière sur votre lot boisé, l’évaluation des potentiels forestiers, acéricoles ou fauniques, l’identification des milieux à protéger ainsi qu’une priorisation des actions à prendre pour mettre en valeur le boisé.
À la suite de l’élaboration d’un plan d’aménagement fait par un ingénieur forestier, la possibilité de devenir un producteur forestier est maintenant possible. De plus, il y a divers programmes d’aides gouvernementaux qui peuvent être envisageables. En effet, ces programmes permettent de bénéficier d’une aide financière et technique pour réaliser les activités d’aménagements que vous désirez.
Oui, si vous avez un désire de protéger la biodiversité et le patrimoine naturel de la terre à perpétuité, il y a un programme de dons écologiques qui existe auprès du gouvernement du Canada. En plus de recevoir des avantages fiscaux, vous permettez de transmettre un héritage aux générations futures.
Ayant pour même objectif, il y a une entreprise sociale sherbrookoise, leader international dans le design, le développement et l’opération de projet forestier et d’agriculture durable liés à la finance carbone, Projet Forestier PIVOT. Ce projet carbone forestier québécois développé par ECOTIERRA a comme objectif de réduire et/ou de capturer des GES sous les standards VCS. Ces activités se concentre à la mise en conservation, l’allongement des cycles de récolte ainsi qu’au boisement ou reboisement tout en ayant une perspective collective.
Guide des bonnes pratique environnemental – Lutte à l’érosion |
Dépliant règlement de contrôle intérimaire 2021-10 |
« L’érosion est un mécanisme où les particules du sol sont détachées et déplacées de leur point d’origine. Au Québec, le principal élément déclencheur de l’érosion est l’eau. Privés de leur couche protectrice naturelle qu’est la végétation, les sols deviennent vulnérables à l’érosion » (Guide des bonnes pratiques environnemental – Lutte à l’érosion, page 3).
Lors d’un projet de construction, dévégétaliser le moins possible en opérant par étape, section par section, cela permettra d’avoir des étendues mises à nu de plus petite superficie. Protéger les tas de terre excavée par des toiles imperméables, des bâches. À la fin de la réalisation du projet, revégétaliser le plus rapidement possible enfin de réduire l’impact de la pluie. Par exemple, l’ajout de paillis temporaire est généralement suffisant.
En ce qui a trait le captage des eaux de ruissellement, il est judicieux d’élaborer des obstacles dans le but de réduire la vitesse d’écoulement des eaux. La vitesse joue un rôle important pour l’érosion. Par exemple, l’enrochement végétalisé dans les fossés, aménager une déviation de fossés, des bassins d’atténuation des crues.
L’objectif de ce règlement est de réduire l’apport de sédiments dans les cours d’eau, les lacs et les milieux humides en ayant un contrôle de l’érosion des fossés et des projets de construction résidentielle, ainsi que de tout autre projet impliquant le remaniement des sols. Cette réglementation touche tout le territoire de la MRC du Granit à l’exception des activités agricoles ou forestières.
Cela se reflète par une bande de végétation naturelle et permanente qui entoure un plan d’eau. Selon la Politique de protection des rives, du littoral et des plaines inondables, sa largeur se situe entre 10 à 15 mètres au minimum, dépendant de la pente du terrain. Celle-ci représente une zone de transition entre le milieu aquatique et le milieu terrestre. Elle se compose généralement d’herbacées, d’arbustes et d’arbres natifs du Québec lorsque celle-ci est en pleine santé.
Il y a deux options qui s’offrent à vous. Soit, en laissant la nature aller, c’est-à-dire en cessant de tondre la partie de votre terrain qui longe le lac ou un cours d’eau. Cela permettra d’offrir la chance à la nature de choisir les végétaux qui sont adaptés aux conditions dans lesquelles elle se retrouve. Cette option plutôt passive et la plus simple est appelée la renaturalisation. Pour ce qui est de l’autre option, soit par la revégétalisation de la rive. Celle-ci requière un peu plus de travail, en effet, c’est à vous de planter les divers végétaux caractériser pour les bandes riveraines du Québec.
https://nature-action.qc.ca/evee |
Dépliant activités lutte plantes envahissantes |
Dépliant général lutte plantes envahissantes |
Dépliant renouée du japon |
Dépliant roseau commun |
Nettoyage-embarcation |
Depuis quelques années, nous vivons dans des écosystèmes qui deviennent de plus en plus à risque d’être perturbé. Autant sur le plan environnemental, économique que sur le plan social. Ce qui fait en sorte que les espèces envahissantes (végétal, animal, ou micro-organisme) qui s’introduisent hors de leur aire de répartition naturelle viennent troubler la cohabitation des espèces vivantes.
Dans ce sens, il en vient alors important d’appliquer certaines actions lors d’activités pouvant être plus à risque de propager ces envahissants et ainsi avoir une vision durable.
Oui, il y a un risque si vous vous aventurez hors des sentiers balisés, éviter les zones qui semblent infestées d’espèces exotiques envahissantes. En cas de doute, contournez ces secteurs. De plus, à la fin de vos excursions, il serait judicieux d’enlever la terre, la boue, les plantes et les autres organismes visibles aux poubelles avant de partir des lieux.
Il est impératif qu’à chaque sortie de votre embarcation vous devez la nettoyer! En effet, l’introduction d’une espèce envahissante dans un écosystème devient difficile, voire impossible, à l’éradiquer et son contrôle engendre des coûts importants et récurrents. Ainsi, un simple nettoyage des équipements, loin de tous les plans d’eau, permet de préserver l’équilibre de votre point d’eau.
Voici quatre étapes bien simples qui vous permettront d’être prévenant et responsable d’un environnement saint :
Lors d’une campagne régionale de sensibilisation et de lutte contre les espèces envahissantes faites par la MRC du Granit, il a été établi que dans notre municipalité nous avons présentement de la renouée du Japon et du roseau commun. Nous pouvons aussi retrouver près de nos frontières du myriophylle à épis.
Forme de grandes colonies denses, elle possède une tige qui est semblable à celle du bambou. Ces fleurs blanches sont petites, nombreuses et en grappe à la base des feuilles.
Tige unique dressée ou courbée verte ou jaunâtre, elle possède des fleurs en forme de plumes au sommet des tiges pouvant mesurer jusqu’à 2.5m et parfois 5m.
Plante aquatique submergée, enracinée au fond de l’eau, qui possède 3 à 6 feuilles finement divisées, disposées en étage de feuilles successives. Sa tige est ramifiée, qui se divisent, à la surface, formant un tapis dense.
La renouée du Japon est une menace à travers le monde, celle-ci fait partie des 100 espèces exotiques envahissantes les plus néfastes selon l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). En effet, celle-ci vient perturber le drainage du sol, en plus, de créer de l’érosion sur les berges. Il y a une perte de biodiversité qui dissipe les espèces indigènes dues à ces racines pouvant s’étendre jusqu’à 3m de long autant en profondeur qu’horizontalement. Dans ce contexte, il est alors préférable d’installer en place certaines préventions dans le but de limiter son expansion.
Tout d’abord, éviter d’acheter ou de planter de la renouée du Japon, malgré sont côté esthétique. Ne pas composter les plants ou les racines, plutôt, déposez-les dans un sac de plastique fermé dans le bac à déchets. De plus, lorsque vous observez sa présence, il est important d’informer la municipalité et les gens qui vous entourent. Pour finir, il serait judicieux de faire un suivi des endroits où vous l’avez contrôlée pour vous assurer qu’elle ne repousse pas ou que sa propagation n’augmente pas.
En ce qui a trait les méthodes de contrôle, il y a par excavation ou par bâchage. La méthode de l’excavation requiert des coûts plus élevés, car vous devez excaver le sol pour extraire la totalité des racines. Puisque le sol est contaminé, il faut alors s’en départir dans un endroit où il prenne en charge ce type de sol dans le but de le décontaminer. Par la suite, il doit y avoir un rajout de terre propre qui doit s’effectuer rapidement pour ne pas laisser un sol à nu et de risquer une nouvelle contamination. Pour ce qui est de la méthode de bâchage, il faut d’abord faucher la colonie puis installer par-dessus une toile en géotextile robuste et perméable à l’eau. Ce géotextile doit, dans l’idéal, dépasser la colonie de 3m. Par la suite, il faut recouvrir la toile de 30cm de terre, puis y planter une végétation d’herbacées denses et indigène. Cette technique requiert une observation régulière dans le but d’extraire les plants qui réussiraient à se frayer un chemin, s’il y parvient.
Cette plante envahissante est présente dans le territoire québécois depuis 1916. D’abord le long du fleuve Saint-Laurent, puis il s’est propagé le long du réseau routier. Cet envahissement crée une perte de la biodiversité en asséchant les milieux humides. De plus, il perturbe la navigation puisque les colonies y sont très denses. C’est pourquoi il est important de tout faire en son pouvoir pour ne pas en avoir.
Dans cette lignée, les meilleurs moyens pour ne pas avoir cette plante sur son terrain sont d’abord et avant tout de ne pas en planter ni en acheter. Ensuite, lorsque vous aménagez votre terrain et que vous devez mettre le sol à nu, prévoir un ensemencement rapide. Soit par des herbacés indigènes ou même des buissons ou des arbres qui vont pouvoir créer de l’ombrage et ainsi empêcher la germination des graines qui pourrait se retrouver dans le sol ou les environs.
L’éradication complète du roseau commun est très difficile, cependant il existe certaines méthodes qui peuvent être faites. En effet, tout dépendamment de la grosseur de la colonie et de sa localisation certaine pratique sont plus adéquate que d’autre. Tout d’abord, en début de saison d’été, vous pouvez procéder au fauchage des tiges d’au moins 1cm du sol pour les plans morts ainsi que pour les jeunes pousses. Répéter toutes les deux semaines dans le but d’épuiser les réserves de la plante et d’empêcher la production de graines. Par la suite, il est possible d’utiliser la technique de bâchage. Celle-ci s’opère en coupant les plantes de la colonie puis de recouvrir le sol de géotextile puis de le recouvrir d’au moins 30cm de terre non contaminer par des envahissants. Et pour finir cette méthode, replanter une végétation d’herbacées denses et indigène, par exemple le gazon. Examiner régulièrement la zone pour y retirer manuellement les repousses dès qu’il y en a. La dernière et non la moindre des techniques c’est la contention. En d’autres mots, entourer la colonie par une barrière physique agencée d’arbres et d’arbustes afin de ralentir sa propagation puisque cette plante n’apprécie pas l’ombrage.
Il va être important lorsque vous vouliez vous départir des plants fraîchement coupés, de les mettre dans un sac de plastique fermé et les disposer dans le bac à ordures.
Puisque notre municipalité est proche de zones qui ont été envahies par cette plante, il nous faut être encore plus prévoyant pour nous éviter de contaminer nos points d’eau. En effet, cette envahissante est très coûteuse lorsque nous voulons précéder à son contrôle, car il requiert une expertise. De plus, lorsque vous la repérez, appeler la municipalité ou la MRC pour nous informer de sa présence. De plus, il est important de ne pas la coupez ni l’arracher. Un seul fragment de la plante est nécessaire pour donner naissance à une nouvelle colonie. Pour prévenir toute contamination, il suffit d’utiliser les étapes de nettoyage d’embarcation soit inspecter, vider et drainer, nettoyer et sécher, puis on recommence à chaque début et fin d’une visite d’un point d’eau.
mrcgranit.qc.ca/fr/services-aux-citoyens/collectes/# |
Traitement des eaux usées des résidences isolées – Partie A |
Traitement des eaux usées des résidences isolées – Partie B |
À la base, une fosse septique a pour fonction de recueillir les eaux usées, retenir les matières solides, éliminer les polluants des eaux usées et retourner les effluents traités dans le sol de la propriété ou dans l’environnement à proximité. Ces matières solides retenues par la fosse, les boues, s’accumulent au fil des années, tout dépendamment de la cadence d’utilisation. Ce faisant, si elle n’est pas vidangée selon la fréquence établie, il pourrait y avoir de l’obstruassions dans le préfiltre qu’elle possède ou dans son élément épurateur. Cela aura pour conséquence d’émettre des polluants dans l’environnement proche.
À la base, une fosse septique a pour Toute circulation motorisée au-dessus des composantes du dispositif de traitement. Cela aura pour conséquence de briser les conduites ou même de compacter le sol et ainsi entraîner une évacuation et un traitement déficient des eaux usées.
Ne plantez aucun arbre ni arbuste près des tuyaux de drainage. En effets, les racines pourraient les obstruer, conserver une marge minimum de 3m de recul serait plutôt conseiller.
Il ne faut pas jetez de peinture, de gazoline, de pesticides, d’huiles, d’antigel ou tous autres produits chimiques dans vos éviers et vos toilettes. Ces produits sont toxiques pour la flore bactérienne de votre système de traitement des eaux. Dans le même sens, éviter le plus possible de jeter des matières grasses (l’huile de cuisson, bouillons gras et autres), celles-ci pouvant s’accumuler dans la fosse septique. L’utilisation d’un broyeur à déchet est aussi à éviter, car celui-ci vient créer une forte charge et une accumulation de boues dans la fosse.
De plus, il faut éviter tout branchement de canalisation de drain de fondation ou de toit, mais garder uniquement les eaux usées et les eaux ménagères de votre résidence vers le système de traitement.
Pour prévenir un bris du dispositif, il ne faut pas jetez dans vos toilettes et éviers : de la soie dentaire, des produits d’hygiène féminine, des condoms, des couches, des mégots de cigarettes, des cotons-tiges, de la mouture de café, de la litière pour chat, du papier essuie-tout ou tous autres articles ménagers pouvant provoquer un bris.
L’utilisation d’additif est à éviter et parfois même déconseiller, car ceux-ci peuvent nuire au bon fonctionnement de la fosse septique et de l’élément épurateur qui possède déjà une flore bactérienne propre à elle.
Et pour finir, lorsque vous avez un bris d’évier ou de toilette qui coulent, réparez le plus rapidement possible. En effet, une plus grande consommation d’eau égale un plus grand risque de mauvais fonctionnement dans le système de traitement.
Tout d’abord, il faut obtenir un permis de la municipalité préalablement à la construction de sa résidence, d’une chambre à coucher supplémentaire ou dans le cas d’un autre bâtiment. Un permis doit aussi être obtenu avant la construction, la rénovation, la modification, la reconstruction, le déplacement ou l’agrandissement d’une installation septique.
S’assurer de la mise aux normes de son installation septique par un professionnel si celle-ci est une source de nuisance ou de contamination, et ce, dans les plus brefs délais. Remplacer les pièces défectueuses ou dont la fin de vie utile est atteinte.
De plus, il est important de rendre accessible la fosse septique pour en effectuer la vidange.
https://www.cieletoilemontmegantic.org |
Guide éclairage |
Règlement de contrôle intérimaire sur la protection du ciel étoilé numéro 2020-11 |
La pollution lumineuse désigne l’utilisation excessive ou inappropriée de la lumière artificielle. La pollution lumineuse, ainsi que ses conséquences néfastes sont en augmentation à travers le monde. L’éclairage nocturne qui est aujourd’hui de plus en plus grand et la plupart du temps non justifié. Le plus grand observatoire du Canada, le David Dunlop Observatory, a même dû fermer ses portes en raison d’une trop grande luminosité dans le ciel de Toronto, puisque l’imagerie y est devenue impossible.
Les conséquences de la pollution lumineuse sont nombreuses. Celle-ci affecte les écosystèmes, la sécurité, l’économie, la santé, l’esthétisme et les recherches scientifiques en sont grandement touchées.
Cependant, ces impacts sont de mieux en mieux compris aujourd’hui, ce qui nous permet de nous adapter en conséquence et d’ajuster nos méthodes d’éclairage à nos réels besoins. Cela ne veut pas dire d’arrêter de s’éclairer la nuit, mais de mieux l’ajuster. En effet, prenons l’exemple de l’orientation d’un luminaire, il doit être idéalement dirigé vers le sol. Éclairer vers le ciel ne nous aide pas à mieux voir et éclairer l’horizon ne fait que nous éblouir, alors que vers le sol nous devenons plus efficace. Il existe d’autres solutions toutes simples pour réduire notre impact quant à la pollution lumineuse que vous pouvez retrouver dans le « Guide de l’éclairage ».
Les heures d’ouverture des bureaux sont du lundi au vendredi de 9h00 à 12h00 et13h00 à 16h00.
Lun | 9h-12h et 13h-16h |
Mar | 9h-12h et 13h-16h |
Mer | 9h-12h et 13h-16h |
Jeu | 9h-12h et 13h-16h |
Ven | 9h-12h et 13h-16h |
Fermé sur l'heure du midi
1244, rue Principale
Nantes (Qc)
G0Y 1G0
(819) 547-3655
info@munantes.qc.ca